Programmation

Les rythmes cubains, le flamenco, le piano jazz et la musique de l’Asie de l’Ouest fusionnent dans ce concert unique où la vitalité des harmonies et la délicatesse des sonorités multiples ouvrent la porte à un voyage nouveau. Andalusyria réunit trois artistes talentueux aux parcours musicaux riches et variés. Nazih Borish, musicien syrien établi à Montréal, est un virtuose autodidacte du oud ; Gabriel Evangelista, montréalais d’origine espagnole, est un pianiste de flamenco-jazz et Hanser Santos Gómez est un percussionniste cubain et grand joueur de cajón. Ensemble, ils créent un répertoire original au carrefour des différentes traditions musicales dont ils sont issus.

Avec en toile de fond des sonorités du XVIIe siècle, les voix et instruments du projet  Constellation de cordes se mêlent et se superposent pour tisser une œuvre sans cesse renouvelée par les improvisations de Deo Munyakazi (Rwanda) sur sa cithare inanga.

Les chants rwandais s’ajoutent aux mélodies instrumentales du théorbe médiéval de Kerry Bursey et de la vièle gheychak de Reza Abaee (Iran). Cette constellation ajoute une profondeur baroque aux notes écossaises et irlandaises du répertoire traditionnel des Maritimes que propose la chanteuse et violoniste Janelle Lucyk.

Musiciennes et musiciens : Janelle Lucyck, violon & chant | Deo Munyakazi, inanga & voix | Kerry Bursey, théorbe | Reza Abaee, vièle ghaychak

Le Centre des musiciens du monde, en partenariat avec Soho Concept, est heureux de présenter un concert d’Erkan Oğur et Ismail Hakkı Demircioğlu.

Cet événement met en vedette deux des musiciens les plus respectés d’Anatolie, tous deux célèbres pour leur contribution à la musique folklorique anatolienne et leur maîtrise de leurs instruments.

Erkan Oğur, l’inventeur de la guitare fretless, est un guitariste acclamé par la critique dont l’influence dépasse les frontières internationales. Sa collaboration avec Ismail Hakkı Demircioğlu, un maître des cordes, a été saluée pour son alchimie artistique et ses performances profondément émotionnelles. Le répertoire du duo comprend un mélange de chansons folkloriques anatoliennes anciennes et plus récentes, décrites comme « une tentative commune de se remémorer » les mélodies pleines d’âme de leur patrie.

Depuis plus de vingt ans, Oğur et Demircioğlu insufflent une nouvelle vie aux chansons d’Anatolie, mêlant des instruments traditionnels comme le saz et le luth bağlama aux sonorités modernes de la guitare fretless. Leurs collaborations ont donné lieu à plusieurs albums et concerts acclamés dans le monde entier, puisant dans des traditions musicales qui remontent au XIVe siècle.

Ce concert à l’église Saint-Enfant-Jésus du Mile-End offre une occasion rare de découvrir la profondeur et la beauté de la musique folklorique anatolienne, interprétée par deux de ses praticiens les plus authentiques et les plus compétents. Ne manquez pas cette opportunité d’assister à un spectacle en direct qui promet d’être un hommage sincère au riche patrimoine musical de l’Anatolie.

« Le groupe vocal le plus excitant de sa génération »

Le spectacle captivant de Windborne s’appuie sur les profondes racines des chanteurs dans les traditions d’harmonie vocale, tandis que l’unicité absolue de leur approche artistique ramène les vieilles chansons au présent. Connus pour l’innovation de leurs arrangements, leurs harmonies sont audacieuses et tout sauf prévisibles.

Avec 20 ans d’expérience dans l’étude de la musique polyphonique à travers le monde, Lauren Breunig, Jeremy Carter-Gordon, Lynn Rowan et Will Rowan partagent une énergie vibrante sur scène, avec un mélange de voix qui ne peut provenir que de décennies d’amitié et de pratique assidue. L’ensemble passe sans effort d’un style de musique à un autre, entraînant le public dans un voyage qui traverse les continents et les siècles, illuminant et développant la puissance et la variété profondes de la voix humaine. Les chanteurs éduquent tout en divertissant, partageant des histoires sur leurs chansons et expliquant le contexte et les caractéristiques des styles dans lesquels ils chantent.

Avec en toile de fond des sonorités du XVIIe siècle, les voix et instruments du projet  Constellation de cordes se mêlent et se superposent pour tisser une œuvre sans cesse renouvelée par les improvisations de Deo Munyakazi (Rwanda) sur sa cithare inanga.

Les chants rwandais s’ajoutent aux mélodies instrumentales du théorbe médiéval de Kerry Bursey et de la vièle gheychak de Reza Abaee (Iran). Cette constellation ajoute une profondeur baroque aux notes écossaises et irlandaises du répertoire traditionnel des Maritimes que propose la chanteuse et violoniste Janelle Lucyk.

Musiciennes et musiciens : Janelle Lucyck, violon & chant | Deo Munyakazi, inanga & voix | Kerry Bursey, théorbe | Reza Abaee, vièle ghaychak

Une musique qui fait voyager! Traversée par les sonorités du jazz, les subtilités du classique, les inflexions klezmer et les rythmes du tango.

Reconnus pour leur polyvalence, leur sensibilité et leur virtuosité, les quatre musiciens présentent Villes Éternelles, où la longue et riche tradition de la musique orientale imprègne de ses modes (maqamat) et de ses métriques chacune des compositions de Masmoudi.

Les compositions originales du compositeur sont traversées par les riches sonorités orientales du oud qui se parent d’accents classiques et jazz d’Europe de l’Est, complétées par le piano, la contrebasse et la clarinette. Une foule d’influences ratissées en chemin, dans une démarche de réelle ouverture et d’expérience.

Avec: Guillaume Martineau au piano, Rémi-Jean Leblanc à la contrebasse, Gabriel Paquin-Buki à la guitare et Mohamed Masmoudi à la clarinette.

Avec en toile de fond des sonorités du XVIIe siècle, les voix et instruments du projet  Constellation de cordes se mêlent et se superposent pour tisser une œuvre sans cesse renouvelée par les improvisations de Deo Munyakazi (Rwanda) sur sa cithare inanga.

Les chants rwandais s’ajoutent aux mélodies instrumentales du théorbe médiéval de Kerry Bursey et de la vièle gheychak de Reza Abaee (Iran). Cette constellation ajoute une profondeur baroque aux notes écossaises et irlandaises du répertoire traditionnel des Maritimes que propose la chanteuse et violoniste Janelle Lucyk.

Musiciennes et musiciens : Janelle Lucyck, violon & chant | Deo Munyakazi, inanga & voix | Kerry Bursey, théorbe | Reza Abaee, vièle ghaychak

Avec en toile de fond des sonorités du XVIIe siècle, les voix et instruments du projet  Constellation de cordes se mêlent et se superposent pour tisser une œuvre sans cesse renouvelée par les improvisations de Deo Munyakazi (Rwanda) sur sa cithare inanga.

Les chants rwandais s’ajoutent aux mélodies instrumentales du théorbe médiéval de Kerry Bursey et de la vièle gheychak de Reza Abaee (Iran). Cette constellation ajoute une profondeur baroque aux notes écossaises et irlandaises du répertoire traditionnel des Maritimes que propose la chanteuse et violoniste Janelle Lucyk.

Musiciennes et musiciens : Janelle Lucyck, violon & chant | Deo Munyakazi, inanga & voix | Kerry Bursey, théorbe | Reza Abaee, vièle ghaychak

Avec en toile de fond des sonorités du XVIIe siècle, les voix et instruments du projet  Constellation de cordes se mêlent et se superposent pour tisser une œuvre sans cesse renouvelée par les improvisations de Deo Munyakazi (Rwanda) sur sa cithare inanga.

Les chants rwandais s’ajoutent aux mélodies instrumentales du théorbe médiéval de Kerry Bursey et de la vièle gheychak de Reza Abaee (Iran). Cette constellation ajoute une profondeur baroque aux notes écossaises et irlandaises du répertoire traditionnel des Maritimes que propose la chanteuse et violoniste Janelle Lucyk.

Musiciennes et musiciens : Janelle Lucyck, violon & chant | Deo Munyakazi, inanga & voix | Kerry Bursey, théorbe | Reza Abaee, vièle ghaychak

Avec en toile de fond des sonorités du XVIIe siècle, les voix et instruments du projet  Constellation de cordes se mêlent et se superposent pour tisser une œuvre sans cesse renouvelée par les improvisations de Deo Munyakazi (Rwanda) sur sa cithare inanga.

Les chants rwandais s’ajoutent aux mélodies instrumentales du théorbe médiéval de Kerry Bursey et de la vièle gheychak de Reza Abaee (Iran). Cette constellation ajoute une profondeur baroque aux notes écossaises et irlandaises du répertoire traditionnel des Maritimes que propose la chanteuse et violoniste Janelle Lucyk.

Musiciennes et musiciens : Janelle Lucyck, violon & chant | Deo Munyakazi, inanga & voix | Kerry Bursey, théorbe | Reza Abaee, vièle ghaychak

Dans le cadre de l’événement-conférence Mundial Montréal, le Centre des musiciens du monde offre trois œuvres en vitrine liant des sonorités et des instruments en provenance de Mongolie, d’Iran, du Pérou, du Mali et du Brésil.

Carnets de soie – de la Perse à la Mongolie

Sur les sentiers musicaux rejoignant la Route de la Soie, Uuriintuya Khalivan, portant le souffle de la Mongolie, et Sadaf Amini, celui des échos de l’Iran, se sont rencontrées à Montréal. Ensemble, elles tracent leur propre itinéraire, où chaque note devient une pause sur le chemin de la découverte de l’Autre. Elles célèbrent la richesse de leurs cultures respectives, tissées comme des fils de soie, cherchant des harmonies au-delà des frontières, au-delà des distances.

Duo Perse-Inca

Duo Perse-Inca est le fruit d’une rencontre à Montréal entre un musicien péruvien et un musicien iranien, tous deux porteurs de riches traditions de l’Iran : Showan Tavakol à la vièle kamancheh, et Federico Tarazona à la guitare charango. Cette collaboration a permis le rapprochement de systèmes musicaux très anciens, que les deux artistes explorent à partir de la délicatesse des mélodies andines et de la profondeur de la musique persane. En mariant les langages, les techniques et les esthétiques, ils donnent naissance à une musique à la fois antique par ses racines et moderne par cette rencontre inattendue.

Siraba – Adama Daou

Siraba signifie la grande voie, une proposition de dialogue entre 3 continents…

C’est le nom du tout dernier spectacle de dialogue artistique entre des langages emblématiques de l’Afrique de l’Ouest, l’Amérique du Sud et l’Europe, à partir du balafon à 12 lames du Mali et de la guitare mandingue (Aboulayé Koné), du pandeiro du Brésil et du saxophone (Gabriel Schwartz) et de la contrebasse (Olivier Babaz). Une rencontre à la fois rafraîchissante et syncopée, où les traditions anciennes sont renouvelées par un dialogue qui ouvre sur un univers inédit d’une grande beauté.

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Horaire des vitrines:

19:00 – Ouverture des portes

20:00 – Carnets de soie – de la Perse à la Mongolie

20:30 – Duo Perse-Inca

21:00 – Siraba – Adama Daou

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Gratuit pour les détenteurs du badge PRO et DÉCOUVERTE de Mundial Montréal

Avec en toile de fond des sonorités du XVIIe siècle, les voix et instruments du projet  Constellation de cordes se mêlent et se superposent pour tisser une œuvre sans cesse renouvelée par les improvisations de Deo Munyakazi (Rwanda) sur sa cithare inanga.

Les chants rwandais s’ajoutent aux mélodies instrumentales du théorbe médiéval de Kerry Bursey et de la vièle gheychak de Reza Abaee (Iran). Cette constellation ajoute une profondeur baroque aux notes écossaises et irlandaises du répertoire traditionnel des Maritimes que propose la chanteuse et violoniste Janelle Lucyk.

Musiciennes et musiciens : Janelle Lucyck, violon & chant | Deo Munyakazi, inanga & voix | Kerry Bursey, théorbe | Reza Abaee, vièle ghaychak

Avec en toile de fond des sonorités du XVIIe siècle, les voix et instruments du projet  Constellation de cordes se mêlent et se superposent pour tisser une œuvre sans cesse renouvelée par les improvisations de Deo Munyakazi (Rwanda) sur sa cithare inanga.

Les chants rwandais s’ajoutent aux mélodies instrumentales du théorbe médiéval de Kerry Bursey et de la vièle gheychak de Reza Abaee (Iran). Cette constellation ajoute une profondeur baroque aux notes écossaises et irlandaises du répertoire traditionnel des Maritimes que propose la chanteuse et violoniste Janelle Lucyk.

Musiciennes et musiciens : Janelle Lucyck, violon & chant | Deo Munyakazi, inanga & voix | Kerry Bursey, théorbe | Reza Abaee, vièle ghaychak

18h15 : ouverture des portes et accès à la buvette
18h30-19h : Rencontre pré-concert avec Kiya Tabassian (animée par Frédéric Léotar, ethnomusicologue)
20h : concert

L’un des artistes iraniens les plus aimé et le principal ambassadeur de la musique persane, Kayhan Kalhor est un maître du kamancheh, la vièle persane. Largement connu pour ses improvisations émouvantes, ses compositions exquises et ses nombreuses collaborations, Kalhor revient à Montréal aux côtés du virtuose du sétar Kiya Tabassian et de l’une des plus grandes voix de la nouvelle génération de chanteurs iraniens, Hadi Hosseini. Ensemble, ils présenteront un programme unique de musique et de poésie persanes sublimes.

Distribution :

KAYHAN KALHOR, kamancheh

HADI HOSSEINI, chant

KIYA TABASSIAN, sétar

HAMIN HONARI, tombak

Le programme s’inspire de différents paysages physiques et émotionnels qu’un voyageur imaginaire pourrait rencontrer – de l’observation d’une beauté profondément émouvante dans des paysages inconnus à l’audace d’un long voyage, en passant par la solitude qu’un voyageur peut ressentir loin de chez lui. Avant tout, leur voyage musical est une conversation entre les sons de leurs instruments et les multiples vibrations de leurs cordes, laissant place à l’improvisation et à l’exploration de l’inconnu.

Le public est invité à suivre une route géographique allant de la Chine à l’Italie en passant par l’Inde, tissant également des liens entre différentes périodes historiques en présentant de la musique de l’ancienne dynastie Han (200 av. J.-C. – 9 apr. J.-C.) à de la musique de la Renaissance européenne naissante, au début du XVe siècle en Italie.

Distribution

Annette Bauer (sarode, flûtes à bec, duduk, tabor)

Ran Wang (guzheng)

Une musique qui fait voyager! Traversée par les sonorités du jazz, les subtilités du classique, les inflexions klezmer et les rythmes du tango.

Reconnus pour leur polyvalence, leur sensibilité et leur virtuosité, les quatre musiciens présentent Villes Éternelles, où la longue et riche tradition de la musique orientale imprègne de ses modes (maqamat) et de ses métriques chacune des compositions de Masmoudi.

Les compositions originales du compositeur sont traversées par les riches sonorités orientales du oud qui se parent d’accents classiques et jazz d’Europe de l’Est, complétées par le piano, la contrebasse et la clarinette. Une foule d’influences ratissées en chemin, dans une démarche de réelle ouverture et d’expérience.

Avec: Guillaume Martineau au piano, Rémi-Jean Leblanc à la contrebasse, Gabriel Paquin-Buki à la clarinette et Mohamed Masmoudi au oud

C’est le nom du tout dernier spectacle de dialogue artistique entre des langages emblématiques de l’Afrique de l’Ouest, l’Amérique du Sud et l’Europe, à partir du balafon à 12 lames du Mali et de la guitare mandingue (Aboulayé Koné), du pandeiro du Brésil et du saxophone (Gabriel Schwartz) et de la contrebasse (Olivier Babaz). Une rencontre à la fois rafraîchissante et syncopée, où les traditions anciennes sont renouvelées par un dialogue qui ouvre sur un univers inédit d’une grande beauté.

Adama Daou est un musicien d’origine malienne, considéré comme l’un des plus grands spécialistes du balafon, cette percussion à 12 lames emblématique de toute l’Afrique de l’Ouest. Son parcours migratoire, qui l’a amené au Québec en passant par la France, l’a ouvert à de nombreuses collaborations artistiques avec des porteurs et porteuses de traditions issu.e.s de cultures musicales variées. Adama Daou est un véritable ambassadeur du balafon et de la culture mandingue.

Les quatre musiciens du Masmoudi Quartette, dirigé par l’oudiste Mohamed Masmoudi, sont reconnus pour leur polyvalence, leur sensibilité et leur virtuosité. Ils nous présentent Villes Éternelles (2023), où la longue et riche tradition de la musique orientale imprègne de ses modes et de ses métriques chacune des compositions de Mohammed Masmoudi, samedi le 8 février au Théâtre Alphonse-Desjardins de Repentigny (20 h).

Traversées d’improvisations qui empruntent tantôt au langage du jazz, tantôt aux subtilités classiques, saupoudrées d’inflexions klezmer et de rythmes tango, les œuvres du Masmoudi Quartet témoignent de la richesse d’une vie commencée en Tunisie et poursuivie un océan plus loin, avec une foule d’influences ratissées en chemin, dans une démarche de réelle ouverture et d’expérience.

Villes Éternelles (2023) est pour Mohamed Masmoudi la cristallisation de plusieurs décennies de créativité, de travail, d’apprentissage et d’échanges musicaux. C’est l’aboutissement de rigoureux perfectionnements ainsi que d’explorations de champs riches autant que diversifiés, qu’un fil d’Ariane relie immanquablement aux profondes racines du oud. La démonstration de ses différents usages contribue à faire voir dans cet instrument plus que le reflet d’une culture lointaine, mais bien le véhicule d’une sensibilité commune. Il a été en nomination à l’ADISQ et au Folk Music AWARD.

Mohamed Masmoudi – oud
Gabriel Paquin-Buki – clarinette
Guillaume Martineau – piano
Rémi-Jean LeBlanc – contrebasse

Présenté par Aramusique dans le cadre de la série Musique du monde.

Le programme s’inspire de différents paysages physiques et émotionnels qu’un voyageur imaginaire pourrait rencontrer – de l’observation d’une beauté profondément émouvante dans des paysages inconnus à l’audace d’un long voyage, en passant par la solitude qu’un voyageur peut ressentir loin de chez lui. Avant tout, leur voyage musical est une conversation entre les sons de leurs instruments et les multiples vibrations de leurs cordes, laissant place à l’improvisation et à l’exploration de l’inconnu.

Le public est invité à suivre une route géographique allant de la Chine à l’Italie en passant par l’Inde, tissant également des liens entre différentes périodes historiques en présentant de la musique de l’ancienne dynastie Han (200 av. J.-C. – 9 apr. J.-C.) à de la musique de la Renaissance européenne naissante, au début du XVe siècle en Italie.

Distribution

Annette Bauer (sarode, flûtes à bec, duduk, tabor)

Ran Wang (guzheng)

Le Centre des musiciens du monde nous propose une rencontre inusitée entre la culture musicale du Pays basque et celle de la nation autochtone Mig’maq. Fruit d’une résidence de création rassemblant les artistes de ces deux mondes (Darlène Gijuminag, Claudine Arhancet et Michel Etxekopar), ce rapprochement défie les frontières et rassemble des cultures sœurs par la terre.

Révélant à la fois leurs traditions millénaires et la modernité qui émane de leurs récentes collaborations, ce concert sera rythmé par la rencontre de la musique traditionnelle mig’maq et basque, en écho aux traces et aux images effacées de leurs premières rencontres. Les artistes explorent ainsi des territoires réels et imaginaires, rappelant que les deux communautés se sont croisées il y a de cela plusieurs siècles.

Ce concert est présenté en co-production avec la SMCQ dans le cadre du Festival Montréal/Nouvelles Musiques avec la participation de l’association des Basques du Québec Euskaldunak.

Avec en toile de fond des sonorités du XVIIe siècle, les voix et instruments du projet  Constellation de cordes se mêlent et se superposent pour tisser une œuvre sans cesse renouvelée par les improvisations de Deo Munyakazi (Rwanda) sur sa cithare inanga.

Les chants rwandais s’ajoutent aux mélodies instrumentales du théorbe médiéval de Kerry Bursey et de la vièle gheychak de Reza Abaee (Iran). Cette constellation ajoute une profondeur baroque aux notes écossaises et irlandaises du répertoire traditionnel des Maritimes que propose la chanteuse et violoniste Janelle Lucyk.

Musiciennes et musiciens : Janelle Lucyck, violon & chant | Deo Munyakazi, inanga & voix | Kerry Bursey, théorbe | Reza Abaee, vièle ghaychak

Plongez au cœur des vastes steppes mongoles en compagnie de Nasanjargal Ganbold et Johanni Curtet.

En Mongolie, la musique traditionnelle est profondément enracinée dans l’environnement naturel et le mode de vie nomade. Au cœur de cette écologie sonore, les Mongols dialoguent avec la nature, à travers leurs instruments et leurs voix, mêlant louanges et chant diphonique.

Originaire de l’Altaï, berceau du khöömii en Mongolie occidentale, Nasanjargal Ganbold maîtrise avec virtuosité cet art vocal unique, ainsi que des instruments traditionnels tels que le morin khuur (vièle à tête de cheval) et le tovshuur (luth). À ses côtés, Johanni Curtet, ethnomusicologue français et spécialiste du chant diphonique, enrichit cette exploration musicale.

Leur collaboration donne vie à un concert où se mêlent sonorités naturelles, poèmes contemporains et improvisations, offrant une immersion profonde dans l’âme de la culture mongole.

Reconnu comme patrimoine culturel immatériel de l’humanité par l’UNESCO en 2010, le khöömii incarne l’essence même de la tradition musicale mongole.

Artistes

Nasanjargal Ganbold : chant diphonique, chant de gorge, vièle morin khuur, luth tovshuur, hautbois bishguur, guimbarde

Johanni Curtet : chant diphonique, chant de gorge, luth dombra, guitare, guimbarde

Présenté par le Centre des musiciens du monde et Traquen’Art

Dans leur rencontre musicale, les musiciennes Ran Wang (guzheng) et Annette Bauer (sarode, flûtes à bec, duduk, xun) traversent la route de la soie d’est en ouest. Leur voyage invite le public à suivre une route géographique allant de la Chine à l’Italie en passant par l’Inde, tissant également des liens entre différentes périodes historiques en présentant de la musique de l’ancienne dynastie Han (200 av. J.-C. – 9 apr. J.-C.) à de la musique de la Renaissance européenne naissante, au début du XVe siècle en Italie.

Distribution

Annette Bauer (sarode, flûtes à bec, duduk, tabor)

Ran Wang (guzheng)

Le klapa (ou klapsko pjevanje) est une tradition chantée à plusieurs voix, en provenance des régions croates méridionales de Dalmatie. Chant à plusieurs voix, homophonique et a capella, le terme klapa signifie «groupe de gens ». Avec son riche mélange d’harmonies, les chants klapa célèbrent l’amour, le vin, la patrie et la mer. Depuis 2012, ce genre traditionnellement masculin est inscrit sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité (UNESCO).

Sava est un ensemble vocal féminin qui interprète de la musique polyphonique a cappella des Balkans. Avec Sarah Albu, Antonia Branković, Dina Cindrić et Sara Rousseau.

Venez entendre les chants traditionnels rwandais s’unir aux voix populaires des Maritimes dans le concert Constellation de cordes. Sur la toile de fond des sonorités du XVIIe siècle, les voix et les instruments de l’ensemble se mêlent pour tisser une œuvre originale. Le résultat est une étonnante constellation de morceaux uniques, qui se superposent magnifiquement aux mélodies instrumentales du théorbe de Kerry Bursey et du gheychak de Reza Abaee, ajoutant une profondeur baroque et persane aux notes écossaises et irlandaises du répertoire traditionnel des Maritimes.

Musiciennes et musiciens : Janelle Lucyck, violon & chant | Deo Munyakazi, inanga & voix | Kerry Bursey, théorbe | Reza Abaee, vièle ghaychak

Federico Tarazona est un musicien et compositeur péruvien, reconnu pour sa virtuosité au charango, petite guitare traditionnelle des Andes.

Son jeu mêle habilement les rythmes et les sonorités traditionnels andins à des influences contemporaines. Federico a su moderniser le charango tout en préservant son caractère unique et ses racines culturelles profondes. Il utilise l’instrument pour créer des textures sonores nouvelles, entre improvisation et compositions originales.

En plus de sa carrière d’interprète, il est un fervent défenseur de la musique autochtone et de la richesse culturelle des Andes. Son travail a été largement salué sur la scène internationale, et il est considéré comme l’un des ambassadeurs de la musique andine moderne.

Federico Tarazona continue de partager la beauté et la complexité du charango à travers des concerts et des collaborations internationales. Ce concert sera une occasion unique de l’entendre en solo.